Cette semaine, nombre sont les médias qui évoquent le dernier rapport de la Miviludes sur l’explosion des dérives sectaires et des manipulations mentales en France. Les ministres, qui je le rappelle sont tous les deux des incapables, menteurs et inutiles, reprennent pour la com le rapport de l’institution et ne donnent aucuns moyens supplémentaires.
« À titre d’exemple, Marlène Schiappa cite les crudivoristes ou encore les survivalistes. Des groupes qui profitent de la crise sanitaire pour grossir leurs rangs. « La crise sanitaire aggrave terriblement la situation, constate la ministre, sans éducation ou sans accès à la médecine, certains tombent entre les mains de charlatans ».
90.000 enfants et adolescents concernés Tout en rappelant que les dérives sectaires pouvaient frapper toutes les parties de la société, Marlène Schiappa explique que celles-ci se diffusent davantage dans des zones rurales, « désertifiée ». Elles touchent également plus de femmes, plus concernées par les questions de précarité et en proie à une prédation sexuelle souvent présente dans ces sectes, explique-t-elle encore. »
« Un rapport réclamé par Marlène Schiappa montre qu la pandémie de coronavirus a favorisé les dérives sectaires, avec une hausse sensible des signalements. La ministre déléguée à la Citoyenneté a annoncé jeudi sur Europe 1 un renforcement des moyens de la Miviludes et une volonté de judiciariser les dérives signalées. »
Elle a encore menti, la justice ne fait rien, et la police encore moins lorsqu’il y a un dépôt de plainte pour dénoncer une situation de dérives sectaires et de manipulation mentale.
Quant à la Miviludes, elle croule sous les signalements et les réclamations de victime qui souffrent de l’indifférence de notre système judiciaire et des failles d’un système à l’agonie. Pourtant, elle n’a reçu que a reçu que 3 008 signalements en 2020, dont 686 jugés sérieux. Très loin du nombre de signalements reçus dans le même temps par les associations.
Les victimes, dont je fais partie en ont plus qu’assez d’écouter des menteurs professionnels, des incapables d’agir et attendent de vrais moyens.
Il faut bien comprendre que lorsque la victime ou sa famille demande de l’aide à la justice ou à la police, il n’y a rien en face, sauf le vide intersidéral entre la République et ces citoyens justiciables.
Le comble, est que les menteurs professionnels ne risquent rien, le mensonge politique n’est ni un crime, ni un délit dit la Cour de Justice de la République !